Katarina Joanna NOM AU CHOIX âgé(e) de ENTRE 30 ET 35 ANS ans et né(e) le AU CHOIX à POLOGNE (obligatoirement) a été envoyé à Sniesgowski pour étudier en détail les cas aigus de bipolarité et de schizophrénie et ce depuis AU CHOIX ( moins d'un an cependant ). D'autres études nous ont montrées qu'elle était également divorcée et bisexuelle. De plus, elle est plutôt intelligente, charmeuse et très douce mais aussi manipulatrice, hypocrite et égoïste. Nous noterons également une étrange ressemblance avec Stana Katic .

Katarina, surnommée facilement Kat' par ses collègues et amis, est une psychiatre très renommée. Issue d'un milieu relativement aisée, elle a suivit un parcours très classique mais jalonné de brillantes récompenses et promotions. Médecine, sortie major de sa promotion, spécialisation psychologique et neurochirurgie, un mariage éclatant avec un des plus grands noms des progrès dans la chirurgie esthétique ... Une vie magnifique et sans aucun échec.

Et pourtant, une part d'ombre inavouable. Sa meilleure amie, bipolaire. Elianova Estrogoff. Bipolaire et nymphomane, avec un mari trop absent. Gravement malade, Elianova s'est mise à abuser de son propre fils, le petit Alexey. Un enfant mignon. Tellement adorable. Avec de grands yeux clairs et des tâches de rousseur sur les joues et le nez. Un petit ange. Katarina le savait. Elle voyait les dégâts qui commençaient à pointer le bout de leur nez chez l'enfant. Mais Katarina n'a d'ambition que pour la science. Le progrès. La connaissance.

Avide de pouvoir, de domination, elle sait qu'elle ne peut y parvenir qu'en comprenant parfaitement les limbes obscurs du cerveau humain. Ses études se sont ensuite porté sur la bipolarité et la schizophrénie, qu'elle était la seule à avoir deviné chez le petit Alexey. Ce fut la fin. Sa brillante carrière de psychiatre tomba en désuétude, ses sujets d'étude ne faisant plus l'unanimité. Son mariage prit fin dans un divorce retentissant et très coûteux. Ce n'est qu'à ce moment là qu'elle décida de postuler pour la clinique Sniesgowski, où elle avait entendu parler de cas correspondant parfaitement à la description de ce qu'elle voulait pour ses recherches. Comment aurait-elle pu savoir qu'elle retrouverait l'objet d'étude qui avait tout déclenché, le petit Alexey Estrogoff, devenu un violeur et un tueur en série ?

Tout d'abord, merci d'avoir prit le temps de jeter un coup d'oeil sur mon scénario. Si il ne vous plait pas, ce n'est pas grave. En revanche, si il vous intéresse, prenez le temps de lire les informations suivantes.

• Katarina est une personne très froide. D'une logique implacable. J'ai précisé qu'elle était égoïste. Si c'est un excellent psychiatre, ce n''est pas parce qu'elle se soucie du patient. Pas du tout. C'est simplement parce qu'elle veut arriver à ses fins, savoir ce qu'elle cherche à savoir.

• Katarina est obnubilé par la connaissance. Savoir et comprendre, c'est le pouvoir. En dehors de ça, rien n'existe. Sa vie passée, elle l'ignore. Un frein pour son avenir. Qu'elle voit comme une gloire sans nom. Elle pense sérieusement que ses recherches auront un jour de la valeur et qu'elle deviendra un maître du genre, après Freud.

• C'est une femme très logique mais qui ne recule pas devant la folie. Loin de là. Elle dépasse les limites de ses serments, pour savoir ce qu'elle veut. Elle peut aller jusqu'à séduire des patients et coucher avec, rien que pour obtenir une clef lui permettant de passer à l'étape supérieure de l'étude. Elle peut pratiquer des opérations chirurgicales sans sourciller, si elle pense que la solution est physique.

• Le lien qu'elle a avec Alexey est très spécial. Elle ne le voit pas comme un humain mais bien comme un sujet d'étude. Malgré cela, elle a du mal face à ses yeux verts et son sourire de petit garçon. Elle le connait depuis qu'il est né. Elle sait beaucoup de chose qu'il ne sait pas. Il est le fruit d'un accident. Son père ne voulait pas de lui. Sa mère était jeune. Arrière d'une voiture un soir de beuverie. La vie a suivi son court. Elle sait tout ce qu'il a subit, enfant. Son but : découvrir comment la bipolarité et la nymphomanie de sa mère a pu l'affecter pour qu'il devienne le violeur et le tueur qu'il est devenu.

Par ailleurs, quelques notes concernant la forme :

• Je suis quelqu'un qui n'a pas peur des mots. Je n'hésite pas à écrire des choses crues, sales, violentes. Clairement choquantes. Si vous avez l'âme sensible, ce personnage n'est pas pour vous.

• Tout le monde fait des fautes, moi y compris. Mais j'attends quand même un bon niveau de RP, pas trop de fautes, une bonne cohérence des temps et un bonus pour la syntaxe.

Si vous pensez remplir toutes ces conditions ...

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